top of page
Claire

Comment protéger les enfants du soleil

Dernière mise à jour : 9 mai 2022

Dès que les beaux jours arrivent, on a envie de se mettre au soleil. Chasser le froid par une petite ou grande exposition, faire le plein de vitamine D, celle qui est produite par l'interaction des rayons du soleil sur notre peau.

Cette vitamine est importante : elle contribue à fortifier nos os en augmentant l'absorbtion du calcium et assure également une minéralisation des tissus (os, dents, cartilages).

Dès les premiers rayons de soleil, il est cependant important de se protéger des ultraviolets qui peuvent provoquer des coups de soleil, un vieillissement prématuré, des allergies et même des cancers.


Protéger les enfants du soleil


Pour prendre soin de la peau des petits (et grands) et des océans, les marques bio se mettent de plus en plus à créer leur gamme solaire.

Dans la gamme Acorelle, la crème SPF50 a été la première testée. Elle fonctionne parfaitement mais est difficile à étaler (à partir de 3 mois).

Leur spray solaire pour enfants est par contre très efficace et sans traces blanches. Le plus : elle est rechargeable. (à partir de 3 ans).


Le dioxyde de titane et l’hydroxyde d’aluminium sont souvent présents dans les compositions des solaires bio. Ils sont sujets à controverse.

(voir le mail de la marque Acorelle concernant ces 2 composants à la fin de l'article*).


Laboratoires de Biarritz a également un spray solaire Alga Maris 50+ qui fait son travail mais laisse malheureusement des traces blanches, difficiles à étaler. (à partir de 6 mois.)

Les marques Comme avant, Endro, Paï ou encore Patika ont également une gamme solaire (pour adultes)


Pour les enfants, un t-shirt anti-UV, un chapeau et des lunettes de soleil sont préconisés en plus d'une crème solaire. Ne pas les exposer aux heures les plus chaudes (12-16h), bien les hydrater, renouveler la crème solaire toutes les 2h. Pour éviter les tâches pigmentaires et le vieillissement prématuré de la peau, ce qui vaut pour les enfants marche également pour les adultes !








*

“La composition de nos sprays solaires a été vérifiée par un toxicologue qui a rédigé une évaluation de la sécurité du produit.

L’hydroxyde d’aluminium n’est pas le même aluminium que celui trouvé dans les sels d’aluminium dans les anti-transpirants. Il n’est pas présent sous la même forme et n’aura donc pas les mêmes effets potentiels. Il est présent dans nos produits, en tant qu’agent d’enrobage pour le dioxyde de titane. Ces agents d’enrobage sont nécessaires. En effet, les particules de TiO2 ont tendance à s’agglomérer entre elles. En s’agglomérant, elles forment des particules plus grosses qui ne vont pas avoir les mêmes capacités d’absorption que des particules plus petites. C’est pourquoi il est nécessaire de les enrober avec des matériaux inertes. Voici les principaux utilisés : · Silicones : impossible pour nous d’utiliser des silicones car interdits par Ecocert –> mode de production trop polluant · Silice : souvent utiliser par les industriels pour les particules de taille nano. Impossible de les utiliser car nous voulons utiliser des particules non nano. · Alumine : ou aussi appelé oxyde d’aluminium. Il s’agit donc bien aussi d’un dérivé de l’aluminium. (note skin deep 2) · Aluminium hydroxide : dérivé minéral de l’aluminium utilisé pour son inertie. (note skin deep 1) L’Aluminium hydroxyde est donc un minéral que l’on peut trouver à l’état naturel et est utilisé comme agent d’enrobage du titane dans le cas de nos produits solaires.

En ce qui concerne le Dioxyde de titane, à l’heure actuelle aucun étude sur ce filtre non nano-particulaire n’a prouvé un quelconque effet cancérigène. Vous devez savoir que dans le cadre d’un produit de protection solaire certifié biologique, nous avons le choix entre seulement 2 filtres minéraux, le dioxyde de titane et l’oxyde de zinc. Les filtres chimiques étant exclus de tous référentiels car écotoxique, et perturbateur endocrinien pour un certain nombre d’entre eux. Nous avons opté pour le dioxyde de titane car il est répertorié comme étant moins toxique pour l’environnement et les milieux aquatiques. Je tiens à préciser que le filtre que nous utilisons n’est pas de taille nano-particulaire.”


21 vues0 commentaire

Comments


bottom of page